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Deux jours après l'annonce de Londres d'une livraison prochaine de blindés Challenger 2 à l'Ukraine, ce qui constituera la première livraison de chars lourds de fabrication occidentale à Kiev, le Kremlin a juré de « brûler » les chars que les Occidentaux comptent livrer à l'Ukraine. « Ces chars brûlent et brûleront », a ainsi déclaré Dmitri Peskov, porte-parole de la présidence russe, dans son briefing téléphonique quotidien à la presse.
Le responsable a estimé une fois encore que les Occidentaux utilisaient l'Ukraine « pour atteindre des objectifs antirusses » et que le Kremlin restait déterminé à atteindre « les objectifs de l'opération militaire spéciale », euphémisme des autorités russes pour décrire l'offensive contre leur voisin.
Motivées et fortes d'une aide militaire et financière croissante, les forces ukrainiennes ont repoussé l'armée russe en lui infligeant au printemps dernier et à l'automne des revers cinglants. Mais Kiev dit avoir besoin de chars lourds, de blindés légers, de systèmes de missiles longue portée et de défenses antiaériennes pour vaincre définitivement l'armée russe et reprendre la totalité des territoires que Moscou occupe dans l'est et le sud de l'Ukraine.
Les russes pensaient que leur « opération spéciale » serait une promenade de santé où leurs troupes, accueillies en libérateur, plieraient l’affaire en 2 ou 3 semaines.
La résistance des ukrainiens, le soutien immédiat des occidentaux, l’importance et la qualité de leur aide ont été pour Moscou une très mauvaise surprise.
Si les Russes réagissent très rapidement à l’annonce de chaque livraison d’armements modernes en promettant leur destruction rapide c’est bien parce qu’ils connaissent maintenant les dégâts qu’ils sont susceptibles de leur infliger.
Ils avaient proféré les mêmes menaces pour les Himars et les canons César. Lesquels continuent tous les jours à se rappeler à leur bon souvenir sur le terrain.
Le Kremlin délire
il s'aperçoit qu'il a perdu, le contrôle et même plus
alors pour encore paraître exister
il raconte, crache, n'importe quoi
un de ces jours il va être en cessation de paiement
et alors "adios le Russie"
A l'exilé du Portugal,
Si on comprend bien vos propos insistants et persistants, votre philosophie c'est "plutôt rouge que mort" ! En 39 vous auriez sans doute demandé l'armistice dès le 4 septembre. La bravoure et l'amour de la patrie chevillés au corps ! Faudrait demander à votre député "Français de l'étranger" de déposer une proposition de loi pour dissoudre l'armée française. Elle a déjà eu trop de morts non-ressuscités.